Je vis dans
cet organe détruit,
dans ce
regard embrumé,
dans cette
tête folle.
De là où je
suis je perçois encore
l'éclat de
l'aveugle beauté,
je vois le
bonheur enduré,
l'espoir à
enterrer.
Parfois je me
liquéfie en larmes angoissées,
je
m'électrise en rêves vains,
je vole sur
un sourire
et m'abîme
pour une indifférence mortifère.
Je suis
l'espoir fou,
le Graal
espéré,
l'Himalaya
effondré;
je suis la
dualité solitaire.
Un jour
viendra où je rejoindrai le chemin
que je
n'aurais jamais dû quitter,
où,
désuni,
scindé en
deux ...
je deviendrai
mon contraire.
Victor- Hugou
RépondreSupprimerOlivier- zoulou
Même combat
Quel talent!
reste simplement ce que tu es...
RépondreSupprimerle désamour n'a pas à nous faire douter de nous, n'est-ce pas ?.. ils auraient gagné !
bisous