Je vis dans
tout vaudeville
qui se
respecte,
dentelle
légère noyée dans cette
obscure masse
de bois ou de fer.
De là où je
suis, je vois le corps nu,
tout comme je
vois son reflet
dans le
miroir de l'âme;
… ou alors,
je ne vois rien.
Parfois, je
sers une liaison
et parfois je
l'empêche;
mon destin
est d'être en perpétuelle hésitation
entre
permissivité et interdit.
Je suis la
voie d'accès et la barrière,
je suis le
terreau du rêve
et celui qui
le stérilise.
Malheureusement,
le jour
proche viendra
où,
à force de
me miniaturiser et m'électroniser,
je ne
laisserai plus passer le rêve,
me
transformant en « maton » de l'espoir
Le problème est que j'ai perdu la clef!
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