Ma tête folle bourdonne,
Ton absence emplit ma
peine,
Les cerisiers en fleurs
s'étonnent,
Des jupons montant la
Seine
Ton absence emplit ma
peine,
Que te font-ils mon
âme-sœur?
Des jupons montant la
Seine
Dans les barques chavirent
les cœurs
Que te font-ils mon
âme-sœur?
Dans ces hôpitaux du
souffrir
Dans les barques chavirent
les cœurs
Emportés par chants et
rires
Dans ces hôpitaux du
souffrir
Comment donc aiment-ils
les gens
Emportés par chants et
rires
Comme papillons par grand
vent
Comment donc aiment-ils
les gens
Ils ne voient jamais
personne
Comme papillons par grand
vent
Ma tête folle bourdonne
Olivier
Deblache
2012
O O O Olivier, Oh!
RépondreSupprimerMa sOtte tête s'émOrveille!
sans voix, je suis ....
RépondreSupprimerbisous
au fait, fais gaffe que ces papillons qui bourdonnent dans ta tête folle ne soient pas des mites !
RépondreSupprimerbisous