Je ne sais pas ce qu'ils disent, mais j'aime beaucoup la musique et le clip !
coups de coeur et coups de gueule, une façon ludique de communiquer avec les humains, mes semblables.
lundi 30 avril 2012
dimanche 29 avril 2012
samedi 28 avril 2012
jeudi 26 avril 2012
Bonne journée !
En réponse à Dany
... et ...
parce que le monde ...
n'est
pas si moche que ça
...
et aussi
en fin,
...fixez 15 secondes ce portrait
étonnant, non ?
mercredi 25 avril 2012
samedi 21 avril 2012
Mon pantoum à moi !
Ma tête folle bourdonne,
Ton absence emplit ma
peine,
Les cerisiers en fleurs
s'étonnent,
Des jupons montant la
Seine
Ton absence emplit ma
peine,
Que te font-ils mon
âme-sœur?
Des jupons montant la
Seine
Dans les barques chavirent
les cœurs
Que te font-ils mon
âme-sœur?
Dans ces hôpitaux du
souffrir
Dans les barques chavirent
les cœurs
Emportés par chants et
rires
Dans ces hôpitaux du
souffrir
Comment donc aiment-ils
les gens
Emportés par chants et
rires
Comme papillons par grand
vent
Comment donc aiment-ils
les gens
Ils ne voient jamais
personne
Comme papillons par grand
vent
Ma tête folle bourdonne
Olivier
Deblache
2012
lundi 16 avril 2012
dimanche 15 avril 2012
le désamour
Je vis dans
cet organe détruit,
dans ce
regard embrumé,
dans cette
tête folle.
De là où je
suis je perçois encore
l'éclat de
l'aveugle beauté,
je vois le
bonheur enduré,
l'espoir à
enterrer.
Parfois je me
liquéfie en larmes angoissées,
je
m'électrise en rêves vains,
je vole sur
un sourire
et m'abîme
pour une indifférence mortifère.
Je suis
l'espoir fou,
le Graal
espéré,
l'Himalaya
effondré;
je suis la
dualité solitaire.
Un jour
viendra où je rejoindrai le chemin
que je
n'aurais jamais dû quitter,
où,
désuni,
scindé en
deux ...
je deviendrai
mon contraire.
Le trou de serrure
Je vis dans
tout vaudeville
qui se
respecte,
dentelle
légère noyée dans cette
obscure masse
de bois ou de fer.
De là où je
suis, je vois le corps nu,
tout comme je
vois son reflet
dans le
miroir de l'âme;
… ou alors,
je ne vois rien.
Parfois, je
sers une liaison
et parfois je
l'empêche;
mon destin
est d'être en perpétuelle hésitation
entre
permissivité et interdit.
Je suis la
voie d'accès et la barrière,
je suis le
terreau du rêve
et celui qui
le stérilise.
Malheureusement,
le jour
proche viendra
où,
à force de
me miniaturiser et m'électroniser,
je ne
laisserai plus passer le rêve,
me
transformant en « maton » de l'espoir
samedi 14 avril 2012
jeudi 12 avril 2012
samedi 7 avril 2012
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