samedi 27 septembre 2014

ortie ! ... cette plante est dangereuse !







Les lobbies des pesticides tentent de verrouiller toute tentative de leur échapper. Après les agriculteurs Bio condamnés pour utilisation de semences OGM apportées dans leurs champs par le vent (http://www.bioalaune.com/fr/actualite-bio/7414/usa-monsanto-fait-payer-des-amendes-aux-agriculteurs-bio), ce sont ces pauvres orties qui poussent aux bords des chemins qui provoquent leur ire. Il faut dire que cela fait des siècles que n'importe quel jardinier se sert du purin d'orties comme engrais et comme répulsif (bio et gratuit).



vous avez un jardin ?  ...  devenez écolo !










Attention, il est interdit de donner la recette du purin d'ortie ! 





je remercie http://www.jardiner-malin.fr/ pour cette recette, et vous recommande de la diffuser le plus largement autour de vous pour éviter la censure


Grâce au purin d’orties, créez votre solution d’engrais et de répulsif contre les parasites 100% bio !
Découvrez le purin d’orties, excellent engrais pour le potager et les plantes du jardin et très bon anti-nuisibles pour la plupart des parasites comme les pucerons.
Cela évitera d’utiliser les produits chimiques nuisibles à l’environnement tout en gardant une grande efficacité !
De plus en plus utilisé, on le trouve désormais vendu dans les magasins spécialisés mais il est aussi tout à fait possible de le faire soi-même.


Utilité et efficacité du purin d’orties :

Ce mélange à base d’orties a des qualités uniques pour stimuler la croissance des plantes mais également pour rejeter la plupart des nuisibles, pucerons et acariens.
Le purin d’orties n’est pas un traitement curatif contre les maladies mais un traitement préventif grâce à sa capacité à renforcer les défenses des plantes.
  • Engrais efficace : Les plantes ont besoin d’azote pour se développer. On en trouve dans tous les engrais et c’est grâce à sa forte teneur en azote que le purin d’orties apportera les éléments nutritifs indispensables à la bonne santé des végétaux.
    .
  • Répulsif contre les parasites : S’il est moins concentré et pulvérisé directement sur les feuilles, le purin d’orties aura un très bon pouvoir répulsif contre les insectes en général, les pucerons et certains acariens.

Recette du purin d’orties :

La recette du purin d’orties est à la fois une recette traditionnelle mais qui n’a jamais été autant au goût du jour grâce à son côté bio.
L’utilisation de produits 100% naturels au jardin est un gage de succès pour traiter vos plantes ou pour en faire de l’engrais tout en protégeant la planète.
La recette du purin d’orties est très simple :
  • Arracher les orties :
    Mettez-les dans un bac ou dans un seau (évitez absolument un bac en métal)
    .
  • Mélanger avec de l’eau :
    Il faut respecter les doses suivantes.
    Engrais => 1 kg d’orties pour 10L d’eau
    Répulsif => 1 kg d’orties pour 20L d’eau
    .
  • Laisser macérer :
    1 à 2 semaines en remuant tous les deux jours environ
    .
  • Filtrer la solution de purin d’orties :
    Il ne faut récupérer que le mélange et se débarrasser des résidus d’orties (épandez les sur le compost)
    .
  • Utilisation en tant que répulsif :Pulvérisez sur les plantes avec un pulvérisateur pour l’utiliser contre les parasites
    .
  • Utilisation en tant qu’engrais :Versez le directement dans la terre telle un engrais liquide, après l’avoir dilué dans l’eau à 10-20%.

Conseil malin à propos du purin d’orties :

Si le purin d’orties est très simple à réaliser et ne devrait pas vous poser de problème, quelques trucs devraient néanmoins vous faciliter la tâche…
  • Vous accélérerez la fermentation en hachant préalablement les orties.
  • Pour les grosses quantités, utilisez la tondeuse à gazon.
Grâce à ce mélange, vous faites de belles économies et surtout un très beau geste pour l’environnement.



Attention ! ne pas confondre l'ortie avec cette plante que l'on trouve aussi parfois dans les jardins.

mardi 26 août 2014

- FIN -


Ce troisième défi a une dimension surréaliste qui réclame, de la part des participants, une faculté d’imagination hors norme !
L’objectif consiste à écrire le dernier chapitre d’un livre qui n’existe pas et qui n’existera jamais !


Ce défi est plus complexe qu’il n’y paraît. Et il vous appartiendra, dans les limites de l’espace traditionnel que l’on s’attend à trouver dans le chapitre d’un livre, d’imaginer et d’écrire un dernier chapitre qui serait synonyme d’aboutissement, d’apothéose, de fulgurance finale !




- FIN -




Les herbes sèches se plient devant moi. Cet été a transformé le moindre herbage en étoupe prête à s’enflammer. Les "cri-cris" des grillons et des cigales me font mal à la tête. Les sauterelles bondissent désespérément pour me fuir.
Ils sont là, je le sens !
Tout à l’heure j’ai vu leurs gros 4x4 et leurs longs fusils au service de cette partie de chasse dont je suis le gibier.
Le souffle me manque. Peut-être aurais-je dû faire plus de sport "avant" ? Avant, quand j’avais le sentiment d’être enfin accepté quelque part.
Instituteur !
Lorsque mes parents étaient dans le djebel, ça voulait dire quelque chose et ils m’ont transmis cette croyance. Je me suis battu, moi le fils de Harki, pour avoir mon bac et ne pas accepter mon destin tout tracé d’ "immigré-tourneur-chez-Renault-Flins".
Il faudrait que je fasse une pause, mais ils ne me laisseront pas me reposer. Tant pis pour le point de côté !
Lorsque j’étais à l’Ecole Normale, mes nuits, mes week-ends et mes vacances se passaient chez cet escroc du Sentier qui me sous-louait une chambre et me payait au quart du SMIC.
... Et je suis devenu "Monsieur l’instituteur".
Il a fallu que, pendant dix ans, je me farcisse les boulots les plus pourris des plus pourris des collèges dans les plus pourries des banlieues. Bien sûr, c’est une sorte de "bizutage" par lequel passent tous les nouveaux diplômés de l’Education Nationale, mais le fait d’être basané avec des cheveux crépus n’accélère pas la sortie de cette situation.
Et enfin !
Alors que je commençais à désespérer, j’ai reçu mon affectation dans une école primaire d’un village du fin-fond du centre de la France. Je ne me fais pas d’illusion, j’ai obtenu ce poste "par défaut", parce qu’aucun autre candidat à une mutation n’avait accepté de venir s’enterrer loin des boîtes de nuit et des supermarchés !
Mais moi, c’était mon rêve réalisé !
Et me voici, maintenant, à galoper de prairies en bosquets et de maquis en forêts dans cette région qu’en quinze ans j’ai appris à connaitre et à aimer. J’y ai même animé des classes de découvertes où j’amenai mes élèves visiter les peintures rupestres dans les grottes, ou alors, à la cueillette des fleurs (le principe de précaution interdisait déjà de ramasser des champignons) ou de fruits (uniquement cerises, pommes et poires).
Et c’est ainsi, qu’à défaut d’être aimé par la majorité des habitants, je fus toléré. Petit à petit, le "bougnoule"a trouvé une petite place dans la communauté villageoise.
Et cette petite Nicole ! Dix ans, blonde, des joues roses et de si jolies fossettes lorsqu’elle souriait. Elle n’était pas dans ma classe, mais je la connaissais, de vue, comme tout le monde connaît tout le monde dans un petit village de campagne.
J’entends des chiens qui aboient derrière moi, là-bas, au fond de la vallée !
Je revois en pensée ce film avec un géant noir évadé de la plantation où il était esclave, ... il me semble que ça ne se terminait pas très bien pour lui.
Partout où je regarde, une succession de collines plus ou moins boisées. Une, deux, une deux ! Sous ce soleil de plomb, je ne suis qu’une machine à avancer. Je ne dois penser et n’être que ça. Le terrain devient caillouteux, le sol sous mes pas est constitué d’une multitude de petits galets ronds et instables. Je cours maintenant dans un couloir dont les bords se relèvent très vite. Je dois être dans un torrent asséché. Peut-être pourrais-je ainsi échapper à le vue de mes poursuivants et les tromper. Albert, le beau-père de la petite Nicole est le président de la société de chasse et, depuis que j’ai retrouvé le cadavre de la petite, il n’arrête pas de répandre des rumeurs comme quoi, ce ne peut être qu’un "arabe" qui ait fait ça. comme - que mes ancêtres Berbères aient pitié - je suis le seul "arabe" vivant à cent kilomètres à le ronde, je suis le bouc émissaire tout désigné. C’est ainsi qu’il s’est auto-promu "chef " de cette bande d’excités qu’il a réussi à convaincre de le suivre dans cette "chasse au raton". Il faut croire que le Albert et sa bande n’ont pas fini leur guerre d’Algérie. En plus, ça tombe bien : les fanas du fusil commençaient à s’ennuyer ferme et ce n’est pas encore l’ouverture de la chasse à la palombe.
Est-ce ma faute si c’est moi qui l’ai trouvée la petiote ?
Elle flottait sur le ventre dans une petite mare que les gamins du village appellent leur "piscine". Je l’ai tiré hors de l’eau,lui ai fait le bouche-à-bouche, et voilà que l’autre Nemrod déboule en cherchant sa belle-fille. Il me casse la gueule en me promettant de me tuer jusqu’à ce que ses collègues de bar l’entraînent vers le village pour chercher du secours. Depuis presque trente-six heures maintenant, je fuis, connaissant la justice expéditive à laquelle aspire Albert.
Je débouche sur un plateau.
Les hurlements des chiens se rapprochent.
L’odeur de ma sueur me semble soudain plus âcre.
Mon souffle se perd. Mes jambes tremblent de peur et de fatigue.
Débouchant de deux voies forestières sur ma droite et sur ma gauche, se resserant comme les mâchoires d’une tenaille, deux 4x4 chargés d’hommes en armes tentent de me coincer.. A quelques mètres derrière moi, les cris des chiens se transforment en grognements alors que leurs maîtres tentent de détacher les mousquetons de leurs laisses.
"Yemma"(*), ton fils est traité comme une bête féroce, mais je te jure que je suis innocent !
J’ai peur !
De tous les cauchemars que j’ai eu, le pire est celui où je me voyais dévoré par des fauves dans les arènes romaines.
Je me retourne, les chiens prennent leur élan.
Je fuis, je bondis dans ce buisson devant moi, ... et je tombe !



" ... accident ou suicide ? ... notre correspondant local vient de nous appeler pour nous faire part du décès d’un des maîtres de l’école où une petite fille venait de trouver la mort en sautant d’un rocher dans une mare presque asséchée. Monsieur Mohamed Duval, instituteur honorablement connu dans le village, quoique n’étant pas le professeur de la petite semblait très affecté par cet événement. Un groupe de chasseurs qui préparait sa saison de chasse a assisté au drame sans pouvoir l’empêcher. Il leur a semblé que l’instituteur a effectué volontairement le saut qui entraîna sa chute mortelle d’une centaine de mètres depuis la plate-forme appelée "le saut du loup".
... et maintenant, une page de publicité ..."
(*) Yemma = Maman en langue berbère

Texte soumis à un concours. vous pouvez me soutenir en votant   http://www.academiebalzac.fr/defi243.html

vendredi 8 août 2014

Il est sorti !


Le 3ème roman !





.. Il est inconscient. Sous les coups sa mémoire s’est
enfuie. 
Cet homme qui est le point de jonction de tant
de destins croisés qui est-il ?
Où nous conduira le jeu de piste mené par un vieux
limier désabusé ?
De ce passé, composé de vies pittoresques nées à
Pau pendant l’hiver glacial de 1956, vont peut être
surgir des vérités longtemps étouffées.
Tendres ou truculents les personnages y trouveront
le ressentiment, le pardon, la joie. Le lecteur aura-t-il le
plaisir de les connaître ou plutôt de les reconnaître tant
ils représentent des figures familières, peut être tout ou
partie de nous-mêmes ?





Écrire à quatre :

Il est courant de penser que l'écriture
est un art essentiellement solitaire. C'est
un point de vue que rien n'oblige à partager.
Nous, Octographe, nous sommes
quatre et avons décidé de tenter le
contraire, convaincus que l'écriture d'un
même roman peut être aussi une oeuvre
collective. Une gageure sans doute mais
nous l'avons osée.
Écrire à quatre c'est travailler simultanément
avec des sensibilités différentes.
L'origine de chacun, sa sensibilité, sa
culture donnent une vision des choses
sous un angle original.
Écrire à quatre ce n'est pas seulement
additionner quatre réflexions mais les
multiplier par six, huit, dix… car chacun
reprend, améliore, rebondit sur la proposition
de l'autre.





« … ce qui est majeur dans vos roman c'est le style,
le ton. Il est dû à mon avis au dispositif de votre
projet ; réunir quatre personnes pour écrire un même
roman. Chaque personne/personnage s'exprime ainsi
avec sa personnalité. Liberté, confiance en vous, débrident
votre imaginaire et un vocabulaire coloré très
vivant. ... Cette humeur produit légèreté et humour,
mais aussi une gravité, celle de l'intime et de ses blessures.
Dimension toutefois qui n'est jamais redondante,
car elle affleure avec discrétion, donc
efficacité... » Michel Pouvreau






OCTOGRAPHE
Danielle Prat, Henri Paralieu,
Olivier Deblache, Jaky Bouzigues
Contact :
69 rue Louis Barthou
64140 Billère
Olivier : 06 75 70 45 37
Henri : 06 15 14 14 24
Mail : octographe@hotmail.fr
Blog : http://octographe.blogspot.fr/






dimanche 22 juin 2014

mardi 10 juin 2014

... mais puisque je vous dis qu'elle est belle la vie !

UBUNTU






Un anthropologue a proposé un jeu à des enfants d'une tribu africaine. Il a mis un panier plein de fruits près d'un arbre et a dit aux enfants que le premier arrivé remportait le panier. Quand il leur a dit de courir, ils se sont tous pris par la main et ont couru ensemble, puis se sont assis ensemble profitant de leurs friandises.
Quand il leur a demandé pourquoi ils n'avaient pas fait la course, ils ont dit: ''UBUNTU, comment peut-on nous être heureux si tous les autres sont tristes''?
«UBUNTU» dans la culture Xhosa signifie: «Je suis parce que nous sommes" 
Belle histoire n'est ce pas ?







lundi 26 mai 2014

Goût amer !

(David Olère)


"Ne donnez pas votre vie à ces êtres inhumains, ces hommes-machines avec une machine à la place de la tête et une machine dans le cœur..."





Quand la machine à fric a étendu partout ses tentacules, se glissant par tous les interstices de l’État et donc dans l’organisation de la collectivité, dans les yeux, les oreilles et la tête des gens, c’est à l’échelle de l’individu et de son entourage proche que les possibles sont en train de germer. Et j’adore voir pousser les graines. La force de vie est impressionnante quand on se donne la peine de l’observer.
(http://www.blancan.org/2014/05/de-l-espoir.html?)



mardi 20 mai 2014

A ceux qui se demandent ce que je fais !


Je bois !



Je bois
Systématiquement
Pour oublier les amis de ma femme
Je bois
Systématiquement
Pour oublier tous mes emmerdements

Je bois
N´importe quel jaja
Pourvu qu´il fasse ses douze degrés cinque
Je bois
La pire des vinasses
C´est dégueulasse, mais ça fait passer l´temps

La vie est-elle tell´ment marrante
La vie est-elle tell´ment vivante
Je pose ces deux questions
La vie vaut-elle d´être vécue
L´amour vaut-il qu´on soit cocu
Je pose ces deux questions
Auxquelles personne ne répond... et

Je bois
Systématiquement
Pour oublier le prochain jour du terme
Je bois
Systématiquement
Pour oublier que je n´ai plus vingt ans

Je bois
Dès que j´ai des loisirs
Pour être saoul, pour ne plus voir ma gueule
Je bois
Sans y prendre plaisir
Pour pas me dire qu´il faudrait en finir...

lundi 24 février 2014

EAU secours !


Le 22 Mars,
LA 
journée mondiale de l' EAU  !






"D’après les projections de certains experts, les ressources en eau par tête de pipe et par an auront diminué de 80% en l’espace d’une vie humaine. Ainsi, si vous êtes un Terrien moyen né dans les « golden sixties », où vous disposiez pour vous tout seul de 3430 mètres cubes d’eau par an, sachez qu’en 2025, vous devrez vous satisfaire de seulement 667. Lorsque l’on sait que le seuil d’alerte est fixé à 2000 mètres cubes par habitant et par an, il est plus que temps aujourd’hui de tirer l’alarme et d’éteindre l’incendie. Les causes ? La demande : au cours du siècle dernier, la population mondiale a triplé alors que la consommation d’eau destinée à l’utilisation humaine a été multipliée par 6. La qualité aussi : plus de la moitié des grands fleuves sont gravement touchés et pollués, entraînant une dégradation ou un empoisonnement de leur écosystème. Parmi les sources de pollution, on retrouve les eaux usées non-traitées, les rejets (agro)chimiques, les fuites de pétrole, les rejets dans les anciens puits…"


(http://www.mondequibouge.be/index.php/2003/03/acces-a-leau-a-combien-ca-chiffre/)


La p EAU llution







Rig EAU lez pas !
... en France aussi.






(le lac du Bourget (73), plus grand lac d'eau douce de France)

Non mais à l' EAU quoi !







En France 1 litre sur 4 d'eau potable est perdu à cause de l'état des canalisations (JDD 8/11/2009)


Cons'EAUmation 





A qui profite le gat'EAU ?




La guerre de l'eau a déjà lieu.








A lire aussi :

vendredi 21 février 2014

Ukraine: 100 morts, Europe : rien !


L'Europe a allumé la mèche 





en proposant à l'Ukraine un accord "de libre échange et coopération",



sans avoir ni les moyens, ni la volonté d'intégrer ce pays dans l'Union.





Depuis, la situation a empiré, 






sans que Bruxelles n'ait le courage de dire :

"désolé les p'tits loups, nous ne pouvons pas vous intégrer, mais nous allons vous aider à créer un vrai pays indépendant qui permettra de faire "le pont" avec votre voisin la Russie pour le bien-être de tous"


Au lieu de quoi, en ordre dispersé, les différents composants de l'Europe tentent de tirer la couverture vers eux.
"Gaz, gaz !" 


Qui a parlé de gaz derrière ?



Circulez ! Y'a rien à voir !
(et puis y'a des élections à préparer)

In Memoriam !