samedi 21 avril 2012

Mon pantoum à moi !




Ma tête folle bourdonne,
Ton absence emplit ma peine,
Les cerisiers en fleurs s'étonnent,
Des jupons montant la Seine

Ton absence emplit ma peine,
Que te font-ils mon âme-sœur?
Des jupons montant la Seine
Dans les barques chavirent les cœurs

Que te font-ils mon âme-sœur?
Dans ces hôpitaux du souffrir
Dans les barques chavirent les cœurs
Emportés par chants et rires

Dans ces hôpitaux du souffrir
Comment donc aiment-ils les gens
Emportés par chants et rires
Comme papillons par grand vent

Comment donc aiment-ils les gens
Ils ne voient jamais personne
Comme papillons par grand vent
Ma tête folle bourdonne
Olivier Deblache
2012            

3 commentaires:

  1. O O O Olivier, Oh!
    Ma sOtte tête s'émOrveille!

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  2. au fait, fais gaffe que ces papillons qui bourdonnent dans ta tête folle ne soient pas des mites !
    bisous

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